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Les oiseaux et leur générosité :

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  • 29 juin 2021

Le facteur de générosité est absent chez les oiseaux, qui constituent une réserve de comportement. Il existe très peu d’espèces qui agissent généreusement dans des paradigmes expérimentaux, et cela est très rare dans la famille des corbeaux. Par exemple, plusieurs études ont montré que les corbeaux très intelligents ont démontré leur égoïsme, leurs tendances et leurs propriétés. De nombreux experts et scientifiques ont démontré cette étude, dont Lisa Horn du Département de biologie comportementale et cognitive. L'Université de Vienne, en collaboration avec Jorg Massen de l'Université d'Utrecht et l'équipe de recherche internationale, a pu montrer qu'il s'agit d'un facteur très décisif et qu'il a une très forte influence sur sa vie.

Depuis l’évolution humaine, beaucoup de choses ont évolué. Si l’on regarde la générosité au sein de la famille des corbeaux, elle va de pair. Entre corbeaux, pies et société, travailler ensemble pour construire une progéniture et accroître la tolérance envers les membres actifs du groupe est essentiel à l’émergence de comportements généreux. Les chercheurs ont pu découvrir que la vie sociale affecte ces facteurs, qui sont importants pour remarquer le comportement d'un oiseau. Les corbeaux et les pies sont connus pour leur intelligence. Et un certain niveau d’intelligence les rend uniques et uniques en leur genre. Ce type de renseignement les aide à résoudre des problèmes complexes, car ils peuvent avoir besoin de trouver quelque chose à bord d'un vol. Beaucoup de choses sont très inattendues. Pour résoudre des problèmes complexes, il est nécessaire de se montrer plus malin que ses semblables. Certaines compétences chez l'homme sont très appréciées, et il s'avère que ce facteur est absent chez les corbeaux et leurs familles. Le bénéfice du membre de leur groupe dépend de ce facteur.

La générosité spontanée, sans attente immédiate de quelque chose en retour, est la pierre angulaire de la société humaine dont les fondements évolutifs ne sont pas encore pleinement compris. Une hypothèse postule que l’élevage coopératif d’une progéniture aurait pu favoriser l’émergence d’une tendance à bénéficier volontairement aux membres du groupe dans les premiers groupes humains. Une autre hypothèse suppose que seules une tolérance accrue envers les membres du groupe et un niveau d’agressivité réduit ont rendu possible un comportement aussi généreux. Alors que les chercheurs ont trouvé des preuves de ces deux hypothèses en étudiant d’autres primates non humains, les résultats concernant d’autres taxons animaux sont jusqu’à présent manquants.