COVID-19 Impact on Pharmaceutical Packaging in Chemicals and Materials Industry

Une protéine qui aide les plantes carnivores à piéger leurs proies :

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  • 28 mai 2021

On observe que le pinceau de l'aile d'un insecte agit comme un outil majeur pour capturer ses proies et il est prédit que certains insectes sont très nocifs et vous mèneront à la mort. Nos aînés disent que nous devrions éviter de tenir des insectes dans nos mains, car ils peuvent involontairement causer beaucoup de dommages au corps humain par leur piqûre, nous devons donc maintenir une distance de sécurité avec eux pour éviter de nous blesser. Mais maintenant, une découverte biologique dit que la plante a le pouvoir de capturer un insecte et de le tuer en lui prenant son énergie. Les réponses sensorielles et tactiles de ces plantes sont encore mal comprises car elles reposent sur de nombreuses connaissances scientifiques non découvertes. Et, au niveau moléculaire, il est très difficile de les comprendre car ils portent en eux une structure très complexe.

Une nouvelle étude a désormais identifié une protéine clé impliquée dans la sensibilité au toucher des pièges à mouches et autres plantes carnivores. Les protéines sont l’un des principaux facteurs permettant de développer une telle structure. Les résultats publiés dans la revue Life contribuent à expliquer un processus très critique qui a longtemps intrigué les chercheurs. Cela pourrait également aider les scientifiques à mieux comprendre la façon dont les plantes de toutes sortes détectent et réagissent rapidement à une stimulation mécanique, ce qui pourrait également avoir une application potentielle dans les thérapies médicales qui stimulent mécaniquement les cellules humaines telles que les neurones et d'autres cellules.

Parlons du piège à mouches Vénus qui est considéré comme ayant une réponse très rapide au toucher et dont le mouvement est si rapide qu'il est invisible à l'œil nu. Ceci est considéré comme une excellente opportunité pour les chercheurs d’étudier davantage le toucher sensible aux plantes et d’étudier une modalité sensorielle qui a été historiquement mal comprise.